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Weegee. Aujourd'hui, le 26 décembre, cela fait 45 ans qu’il est parti au paradis des photographes.
Pour l’actuelle génération, il peut paraitre comme un personnage
presque insolite, voir énigmatique. Mais un photographe, il doit savoir
tout faire. Prendre la photo, la développer et tirer, puis la vendre et
encore écrire un papier, pour qu’il soit payé. C’était comme ça.
Weegee on the fire escape in front of his studio on Centre Market Place
about 1939
Photo : International Center of Photography — Getty Images /
The New York Times
"Ma Chevy devint ma maison. Elle n’avait que deux sièges, avec un
coffre particulièrement vaste. J’y gardais toutes mes affaires, un
boîtier de secours, des réserves d’ampoules de flash, des pellicules
d’avance, une machine à écrire, des bottes de pêcheur, des boîtes de
cigare, du salami, des films à infra-rouge pour photographier la nuit,
des uniformes, des déguisements, des sous-vêtements de rechange, une
paire de chaussures et des chaussettes de secours." - More in Weegee par Weegee - Une autobiographie ; Éditions de La table ronde ; Paris 2009
(26.12.2013)
