Tags : Le Petit Bleu, L’œil de la Photographie, Mediapart,
Les spéléologues amateurs ont découvert des restes de corps dans une grotte, dans le bois entre Penne et Bruniquel (Penne-sur-Tarne), le 11 janvier dernier. Sa squelette était allongée sur un lit improvisé, sous la couverture. La cause de la mort n’a pu être précisée, mais d'après les gendarmes, elle serait probablement naturelle.
Alain Carcenac (68 ans) était un ancien photographe, originaire de Montauban. Il a vécu en Nouvelle-Calédonie, où il travaillait comme reporteur dans le quotidien Les Nouvelles calédoniennes, jusqu'en 1986. - "Dans la bande, c’était le plus beau, le plus gentil et surtout, un excellent professionnel de la photo," raconte une ancienne collègue.
Photographe Alain Carcenac a quitté la Nouvelle-Calédonie sur un coup de tête. "Il s'est volatilisé," rajoute cette même collègue. Puis, après son retour dans l'Hexagone, c'est le mystère. Personne ne sait, qu'est-ce qui l'a vraiment motivé à tout quitter et mener une "vie naturelle". Il a d'abord vécu plusieurs années dans les bois de la commune de Vaïssac (Tarn-et-Garonne), d'où il s'est retiré pour rejoindre des grottes.
"Il avait choisi ce mode de vie et n’expliquait rien. Il ne voulait surtout dépendre de personne. Un homme lucide et très cultivé. Il aimait beaucoup parler de la nature," racontent des villageois. "Il refusait tout et fuyait l’autorité que je peux représenter. C’était son choix. Il rejetait tout ce qui fait notre société et il l’assumait," se souvient Michel Montet, le maire de Bruniquel. - More
(29.01.2014)
Les spéléologues amateurs ont découvert des restes de corps dans une grotte, dans le bois entre Penne et Bruniquel (Penne-sur-Tarne), le 11 janvier dernier. Sa squelette était allongée sur un lit improvisé, sous la couverture. La cause de la mort n’a pu être précisée, mais d'après les gendarmes, elle serait probablement naturelle.
Alain Carcenac (68 ans) était un ancien photographe, originaire de Montauban. Il a vécu en Nouvelle-Calédonie, où il travaillait comme reporteur dans le quotidien Les Nouvelles calédoniennes, jusqu'en 1986. - "Dans la bande, c’était le plus beau, le plus gentil et surtout, un excellent professionnel de la photo," raconte une ancienne collègue.
Photographe Alain Carcenac a quitté la Nouvelle-Calédonie sur un coup de tête. "Il s'est volatilisé," rajoute cette même collègue. Puis, après son retour dans l'Hexagone, c'est le mystère. Personne ne sait, qu'est-ce qui l'a vraiment motivé à tout quitter et mener une "vie naturelle". Il a d'abord vécu plusieurs années dans les bois de la commune de Vaïssac (Tarn-et-Garonne), d'où il s'est retiré pour rejoindre des grottes.
"Il avait choisi ce mode de vie et n’expliquait rien. Il ne voulait surtout dépendre de personne. Un homme lucide et très cultivé. Il aimait beaucoup parler de la nature," racontent des villageois. "Il refusait tout et fuyait l’autorité que je peux représenter. C’était son choix. Il rejetait tout ce qui fait notre société et il l’assumait," se souvient Michel Montet, le maire de Bruniquel. - More
(29.01.2014)